Saumur, 1887 – Noémie Geay est introuvable

Première incursion vers les branches paternelles de l’arbre… Et premières difficultés rencontrées dans les recherches. Lorsque je plonge dans le puits sans fond de la généalogie dans les années quatre vingt, les recherches se font sur place, dans les mairies qui détiennent leurs archives, ou au pire, par l’envoi d’une demande d’actes en précisant la… Lire la suite Saumur, 1887 – Noémie Geay est introuvable

Verruyes, 1894 – Louise s’appelle Niveau et pas Nivault !

Dans les années quatre-vingt, sans internet, je vais au plus simple. Mon grand-père est né à Saint-Georges de Noisné, et non à Verruyes où, comme je l’ai dit précédemment, je passe régulièrement des vacances. Si Saint-Georges n’est qu’à quelques kilomètres de Verruyes, je décide cependant d’écluser toutes les pistes verruyquoises avant de passer à d’autres… Lire la suite Verruyes, 1894 – Louise s’appelle Niveau et pas Nivault !

Verruyes, 4 juillet 1831 – Modeste Texier défie l’autorité parentale (1)

Au fil des étés passés dans la salle des Archives de la commune, les premières découvertes ne tardent pas. Une de mes ancêtres préférées, peut être parce que c’est la première pour laquelle je pouvais dépasser le cadre née-mariée-décédée, et à laquelle je pouvais donner une personnalité imaginaire à partir des documents trouvés, est Modeste… Lire la suite Verruyes, 4 juillet 1831 – Modeste Texier défie l’autorité parentale (1)

Gâtine – Plus de deux siècles de sédentarisation ou… d’enracinement 

Les premières recherches étaient faciles à organiser durant ce bel été deux-sévrien des années quatre-vingt. Ma grand-mère que je n’avais pas connue était née dans le village de mes vacances, celui de la maison de mon grand-père, son mari, que j’avais, lui, connu et aimé énormément. La mairie n’était pas loin, dans le bourg,  à… Lire la suite Gâtine – Plus de deux siècles de sédentarisation ou… d’enracinement 

Les enquêtes et l’imagination de La drôlesse

  Tout a commencé dans les années quatre-vingt, pendant un bel été en Deux-Sèvres. Trois mois de vacances après le baccalauréat et avant l’université…par conséquent du temps pour s’attarder sur tous les papiers trouvés dans le grenier de la maison de mon grand-père maternel quelques années plus tôt, lors de sa disparition. Livrets militaires, livrets… Lire la suite Les enquêtes et l’imagination de La drôlesse