H comme Hériter en Gâtine – Verruyes, la Petite Vergnonière, de 1799 à 1919 #ChallengeAZ

#ChallenzeAZ2018 collaboratif #Gâtine #Généa79 Le 28 Messidor de l’An 7 de la République française une et indivisible, les Jacobins, chassés de la Salle du Manège, s’installent Rue du Bac. La veille, Bonaparte a vaincu les Turcs à Aboukir. La période révolutionnaire vit ses derniers soubresauts, après avoir mis à bas l’Ancien Régime. Plus d’une bonne… Lire la suite H comme Hériter en Gâtine – Verruyes, la Petite Vergnonière, de 1799 à 1919 #ChallengeAZ

Evron, Mayenne, 24 mai 1903 – Qui est le premier communiant Gérald Robin ?

Parler de généalogie avec ma mère, dont la mémoire est impressionnante ceci dit en passant, me conduit inévitablement à descendre de l’arbre… jamais à le remonter ! Savoir que tel ou telle ancêtre était ceci ou cela ne l’intéresse que rarement. Mais savoir qui était un tel ou une telle par rapport à nous, comme… Lire la suite Evron, Mayenne, 24 mai 1903 – Qui est le premier communiant Gérald Robin ?

« Cher fieul, 1914-1919 » par Louis Victorien Désiré Dutin (1)

Denis, mon grand-père, n’a pas été le seul de sa famille ou de ses proches à écrire pendant la guerre. Depuis que le projet de parler de lui et de sa correspondance a vu le jour, et au fil de mes recherches sur la Grande Guerre et l’histoire des régiments, il me semblait injuste que… Lire la suite « Cher fieul, 1914-1919 » par Louis Victorien Désiré Dutin (1)

Verruyes, XIXe siècle – Le méli-mélo des Niv(e)au(lt)

Lorsque je débute mon arbre généalogique, du côté maternel, je sais que je vais avoir à gérer des homonynies et que je vais devoir faire attention à ne pas m’emmêler les pinceaux… Le père de ma mère s’appelle Niveault, Denis Niveault. Avec un E au milieu et LT à la fin. Branche 1. La grand-mère… Lire la suite Verruyes, XIXe siècle – Le méli-mélo des Niv(e)au(lt)

Verruyes, 1894 – Louise s’appelle Niveau et pas Nivault !

Dans les années quatre-vingt, sans internet, je vais au plus simple. Mon grand-père est né à Saint-Georges de Noisné, et non à Verruyes où, comme je l’ai dit précédemment, je passe régulièrement des vacances. Si Saint-Georges n’est qu’à quelques kilomètres de Verruyes, je décide cependant d’écluser toutes les pistes verruyquoises avant de passer à d’autres… Lire la suite Verruyes, 1894 – Louise s’appelle Niveau et pas Nivault !